Le vêtement, c’est avant tout ceux qui le font, le fabriquent avec tout le soin nécessaire : on trouvera ici des témoignages sur l’activité des ateliers de confection et des couturières, y compris celles qui, au temps passé, allaient coudre « à la journée » chez les gens.
Le vêtement est aussi un instrument d’expression de la personnalité, rappelle Philippe Lejeune dans son texte « L’habit fait le moi ». Des exemples d’écrivains sensibles à cette dimension du vécu suivent, comme ceux de Casanova ou Colette, ainsi que les lettres de Juliette Drouet à Victor Hugo.
Le vêtement a aussi une dimension émotionnelle et affective, tandis que plusieurs articles montrent aussi son rôle comme outil d’émancipation et de liberté – notamment, sans surprise, pour les femmes.
« La Faute à Rousseau » est édité par l'APA, association pour l'autobiographie et le patrimoine autobiographique.